La nouvelle campagne relayée dans le cadre du programme « Vitrines d’éducation et de prévention pour la santé » a pour thème l’arthrose.

L’Arthrose est la maladie articulaire chronique la plus fréquente. Elle touche de 9 à 10 millions de personnes dont 4,6 millions présentent une arthrose symptomatique. La prévalence augmente avec l’âge pour atteindre 80 % des personnes de plus de 80 ans. Elle constitue la seconde cause d’invalidité en France.

Pour faire connaître cette maladie et lutter contre certaines idées reçues sur l’arthrose, l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose a lancé, en décembre dernier, une campagne nationale d’information. Partenaire de cette action, le Cespharm invite les confrères à se mobiliser pour relayer les messages auprès du public.

Les adhérents au programme « Vitrines » ont reçu deux affiches « L’arthrose se soigne ! » et « L’arthrose peut être évitée », éditées dans le cadre de la campagne. La brochure « Arthrose : luttons contre les idées reçues » à remettre au public ainsi qu’un Questions / Réponses sur l’arthrose destiné aux pharmaciens sont mis à la disposition des confrères.

Pour rejoindre les adhérents au programme « Vitrines », consultez la rubrique Agir au quotidien / Programme Vitrines.

La nouvelle campagne relayée dans le cadre du programme « Vitrines d’éducation et de prévention pour la santé » a pour thème l’arthrose.

L’Arthrose est la maladie articulaire chronique la plus fréquente. Elle touche de 9 à 10 millions de personnes dont 4,6 millions présentent une arthrose symptomatique. La prévalence augmente avec l’âge pour atteindre 80 % des personnes de plus de 80 ans. Elle constitue la seconde cause d’invalidité en France.

Pour faire connaître cette maladie et lutter contre certaines idées reçues sur l’arthrose, l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose a lancé, en décembre dernier, une campagne nationale d’information. Partenaire de cette action, le Cespharm invite les confrères à se mobiliser pour relayer les messages auprès du public.

Les adhérents au programme « Vitrines » ont reçu deux affiches « L’arthrose se soigne ! » et « L’arthrose peut être évitée », éditées dans le cadre de la campagne. La brochure « Arthrose : luttons contre les idées reçues » à remettre au public ainsi qu’un Questions / Réponses sur l’arthrose destiné aux pharmaciens sont mis à la disposition des confrères.

Pour rejoindre les adhérents au programme « Vitrines », consultez la rubrique Agir au quotidien / Programme Vitrines.

Face à la vague de froid qui sévit actuellement en France, le ministère chargé de la santé et l’Inpes rappellent les principales mesures à adopter en période de grand froid.

Le grand froid, le vent glacé, la neige sont des risques météorologiques potentiellement dommageables pour la santé (gelures, hypothermies, déclenchement de crises d’asthme et de crises d’angor, infections broncho-pulmonaires…). Sont particulièrement à risque les nourrissons, les personnes âgées et/ou présentant certaines maladies chroniques (notamment cardiaques, respiratoires ou endocriniennes) et les personnes en situation de précarité.

Quelques précautions permettent de prévenir les risques sanitaires liés au grand froid, parmi lesquelles :
– Bien se couvrir pour sortir, en particulier les extrémités ainsi que le nez et la bouche ; porter de bonnes chaussures pour éviter les chutes,
– Limiter les activités extérieures pour les personnes à risque et les efforts physiques, même pour les personnes en bonne santé,
– Etre particulièrement vigilant aux enfants et nourrissons : éviter l’utilisation d’un porte-bébé susceptible de comprimer les membres inférieurs de l’enfant et d’entraîner des gelures,
– Vérifier le bon fonctionnement des ventilations et des appareils de chauffage afin d’éviter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone,
– Appeler le « 115 » (numéro vert de l’urgence sociale) face à une personne sans abri ou en difficulté dans la rue,
– S’informer des éventuelles recommandations locales spécifiques émises par les préfectures.

Des documents d’information rassemblant les principaux conseils de prévention à adopter et destinés au public sont téléchargeables sur le site du ministère chargé de la santé.

Par ailleurs, l’ANSM propose sur son site internet, un dossier « Grand froid et médicaments » comportant une mise au point sur le bon usage des médicaments en cas d’épisode de grand froid.

Face à la vague de froid qui sévit actuellement en France, le ministère chargé de la santé et l’Inpes rappellent les principales mesures à adopter en période de grand froid.

Le grand froid, le vent glacé, la neige sont des risques météorologiques potentiellement dommageables pour la santé (gelures, hypothermies, déclenchement de crises d’asthme et de crises d’angor, infections broncho-pulmonaires…). Sont particulièrement à risque les nourrissons, les personnes âgées et/ou présentant certaines maladies chroniques (notamment cardiaques, respiratoires ou endocriniennes) et les personnes en situation de précarité.

Quelques précautions permettent de prévenir les risques sanitaires liés au grand froid, parmi lesquelles :
– Bien se couvrir pour sortir, en particulier les extrémités ainsi que le nez et la bouche ; porter de bonnes chaussures pour éviter les chutes,
– Limiter les activités extérieures pour les personnes à risque et les efforts physiques, même pour les personnes en bonne santé,
– Etre particulièrement vigilant aux enfants et nourrissons : éviter l’utilisation d’un porte-bébé susceptible de comprimer les membres inférieurs de l’enfant et d’entraîner des gelures,
– Vérifier le bon fonctionnement des ventilations et des appareils de chauffage afin d’éviter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone,
– Appeler le « 115 » (numéro vert de l’urgence sociale) face à une personne sans abri ou en difficulté dans la rue,
– S’informer des éventuelles recommandations locales spécifiques émises par les préfectures.

Des documents d’information rassemblant les principaux conseils de prévention à adopter et destinés au public sont téléchargeables sur le site du ministère chargé de la santé.

Par ailleurs, l’ANSM propose sur son site internet, un dossier « Grand froid et médicaments » comportant une mise au point sur le bon usage des médicaments en cas d’épisode de grand froid.

L’Institut national du cancer (INCa) lance un appel à candidatures pour constituer son Comité des usagers et des professionnels. Les pharmaciens sont invités à postuler avant le 25 janvier 2013.

Le Comité des usagers et des professionnels (Comup) est une instance de consultation permanente placée auprès du président de l’INCa. Il a pour but de lui apporter l’expérience et le point de vue des usagers et des professionnels. Ce comité a pour missions :
– d’être force de propositions sur les orientations de l’Institut, d’identifier des besoins ou des thématiques pouvant donner lieu à de nouvelles actions,
– de donner un avis sur le plan d’actions et les actions de l’INCa,
– de veiller à ce que les bénéficiaires des actions spécifiques de l’INCa soient réellement impliqués dans les processus opérationnels de développement de ces actions.

Médecins généralistes et spécialistes, pharmaciens d’officine, infirmiers, psycho-oncologues, assistants sociaux et chercheurs sont invités à participer au collège des professionnels du Comup. Il est important que les pharmaciens soient représentés au sein de ce comité et puissent ainsi faire part de leur expérience de terrain, de leurs attentes et suggestions.

Les candidatures sont à envoyer au plus tard le 25 janvier 2013, par courriel : candidature-comup@institutcancer.fr

Plus d’informations sur les modalités de candidature sur le site www.e-cancer.fr/comup

L’Institut national du cancer (INCa) lance un appel à candidatures pour constituer son Comité des usagers et des professionnels. Les pharmaciens sont invités à postuler avant le 25 janvier 2013.

Le Comité des usagers et des professionnels (Comup) est une instance de consultation permanente placée auprès du président de l’INCa. Il a pour but de lui apporter l’expérience et le point de vue des usagers et des professionnels. Ce comité a pour missions :
– d’être force de propositions sur les orientations de l’Institut, d’identifier des besoins ou des thématiques pouvant donner lieu à de nouvelles actions,
– de donner un avis sur le plan d’actions et les actions de l’INCa,
– de veiller à ce que les bénéficiaires des actions spécifiques de l’INCa soient réellement impliqués dans les processus opérationnels de développement de ces actions.

Médecins généralistes et spécialistes, pharmaciens d’officine, infirmiers, psycho-oncologues, assistants sociaux et chercheurs sont invités à participer au collège des professionnels du Comup. Il est important que les pharmaciens soient représentés au sein de ce comité et puissent ainsi faire part de leur expérience de terrain, de leurs attentes et suggestions.

Les candidatures sont à envoyer au plus tard le 25 janvier 2013, par courriel : candidature-comup@institutcancer.fr

Plus d’informations sur les modalités de candidature sur le site www.e-cancer.fr/comup

L’équipe du Cespharm vous présente

ses meilleurs voeux pour l’année 2013

.

« Que chaque pharmacien se mobilise pour aider les français à préserver leur « capital santé » tout au long de la vie : Agissons pour la prévention« 

Pr Claude Dreux, Président du Cespharm

L’équipe du Cespharm vous présente

ses meilleurs voeux pour l’année 2013

.

« Que chaque pharmacien se mobilise pour aider les français à préserver leur « capital santé » tout au long de la vie : Agissons pour la prévention« 

Pr Claude Dreux, Président du Cespharm

La loi interdisant l’utilisation du bisphénol A dans les contenants alimentaires (loi n°2012-1442 du 24 décembre 2012) a été publiée au Journal Officiel le 26 décembre 2012.

Elle étend, à compter du 1er janvier 2013, la suspension de la fabrication, de l’importation, de l’exportation et de la mise sur le marché des biberons à base de bisphénol A (loi n°2010-729 du 30 juin 2010) à l’ensemble des conditionnements, contenants ou ustensiles à usage alimentaire destinés aux nourrissons et enfants en bas âge.

Cette suspension prendra effet, dans les mêmes conditions, au 1er janvier 2015, pour tout autre conditionnement, contenant ou ustensile comportant du bisphénol A et destiné à entrer en contact direct avec des denrées alimentaires.

D’ici là, tout conditionnement à vocation alimentaire contenant du bisphénol A devra comporter un avertissement sanitaire déconseillant son usage aux femmes enceintes, aux femmes allaitantes, aux nourrissons et enfants en bas âge. Les conditions de cette obligation d’information seront fixées par décret.

En outre, la loi étend l’interdiction du bisphénol A aux collerettes de tétines et de sucettes et aux anneaux de dentition (article L.5231-2 du code de la santé publique).

Pour rappel, le bisphénol A est principalement utilisé dans la fabrication de plastique de type polycarbonate et de résines époxydes entrant dans la composition de récipients alimentaires (vaisselle, bouilloires…) et de certains revêtements internes de boites de conserve ou de canettes. Les études scientifiques sur sa toxicité font état d’effets sanitaires avérés chez l’animal et suspectés chez l’homme, notamment des perturbations endocriniennes (rapport de l’ANSES, septembre 2011). Ces effets ont été mis en évidence pour de faibles niveaux d’exposition et particulièrement à certaines époques de la vie : grossesse, périodes pré et postnatales.

La loi interdisant l’utilisation du bisphénol A dans les contenants alimentaires (loi n°2012-1442 du 24 décembre 2012) a été publiée au Journal Officiel le 26 décembre 2012.

Elle étend, à compter du 1er janvier 2013, la suspension de la fabrication, de l’importation, de l’exportation et de la mise sur le marché des biberons à base de bisphénol A (loi n°2010-729 du 30 juin 2010) à l’ensemble des conditionnements, contenants ou ustensiles à usage alimentaire destinés aux nourrissons et enfants en bas âge.

Cette suspension prendra effet, dans les mêmes conditions, au 1er janvier 2015, pour tout autre conditionnement, contenant ou ustensile comportant du bisphénol A et destiné à entrer en contact direct avec des denrées alimentaires.

D’ici là, tout conditionnement à vocation alimentaire contenant du bisphénol A devra comporter un avertissement sanitaire déconseillant son usage aux femmes enceintes, aux femmes allaitantes, aux nourrissons et enfants en bas âge. Les conditions de cette obligation d’information seront fixées par décret.

En outre, la loi étend l’interdiction du bisphénol A aux collerettes de tétines et de sucettes et aux anneaux de dentition (article L.5231-2 du code de la santé publique).

Pour rappel, le bisphénol A est principalement utilisé dans la fabrication de plastique de type polycarbonate et de résines époxydes entrant dans la composition de récipients alimentaires (vaisselle, bouilloires…) et de certains revêtements internes de boites de conserve ou de canettes. Les études scientifiques sur sa toxicité font état d’effets sanitaires avérés chez l’animal et suspectés chez l’homme, notamment des perturbations endocriniennes (rapport de l’ANSES, septembre 2011). Ces effets ont été mis en évidence pour de faibles niveaux d’exposition et particulièrement à certaines époques de la vie : grossesse, périodes pré et postnatales.