L’Alliance Nationale Contre l’Arthrose lance aujourd’hui une campagne d’information sur l’arthrose. Le Cespharm, partenaire de cette action, met à la disposition des confrères des outils pour relayer les messages auprès du public.

En France, l’arthrose est la maladie articulaire chronique la plus fréquente. Elle touche de 9 à 10 millions de personnes et constitue la seconde cause d’invalidité. Or, des mesures de prévention et des moyens thérapeutiques efficaces existent.

A l’initiative de l’Association Française de Lutte Anti-Rhumatismale (AFLAR), les différents acteurs de la prise en charge de l’arthrose se sont regroupés au sein de l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose pour mieux lutter contre cette maladie. Ils lancent aujourd’hui une campagne nationale d’information qui repose sur :

– la création d’un site internet destiné au public – www.stop-arthrose.org – dédié aux problématiques et solutions pour lutter contre l’arthrose,

– la diffusion auprès du public d’affiches et d’une brochure expliquant l’arthrose en termes simples autour de 5 messages clés : « l’arthrose est une véritable maladie », « ce que n’est pas l’arthrose », « l’arthrose peut être évitée », « l’arthrose se soigne », « la recherche est en marche »,

– le lancement d’une enquête d’envergure auprès des patients atteints d’arthrose pour recueillir leurs besoins et leurs attentes. Le questionnaire est à remplir en ligne sur le site www.stop-arthrose.org.

Partenaire de cette campagne, le Cespharm met à la disposition des pharmaciens la brochure « L’arthrose : luttons contre les idées reçues » et les affiches relatives à la prévention et aux traitements de l’arthrose. Par ailleurs, un envoi systématique des affiches est prévu auprès des adhérents au programme « Vitrines » les invitant à relayer la campagne pendant tout le mois de janvier.

L’Alliance Nationale Contre l’Arthrose lance aujourd’hui une campagne d’information sur l’arthrose. Le Cespharm, partenaire de cette action, met à la disposition des confrères des outils pour relayer les messages auprès du public.

En France, l’arthrose est la maladie articulaire chronique la plus fréquente. Elle touche de 9 à 10 millions de personnes et constitue la seconde cause d’invalidité. Or, des mesures de prévention et des moyens thérapeutiques efficaces existent.

A l’initiative de l’Association Française de Lutte Anti-Rhumatismale (AFLAR), les différents acteurs de la prise en charge de l’arthrose se sont regroupés au sein de l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose pour mieux lutter contre cette maladie. Ils lancent aujourd’hui une campagne nationale d’information qui repose sur :

– la création d’un site internet destiné au public – www.stop-arthrose.org – dédié aux problématiques et solutions pour lutter contre l’arthrose,

– la diffusion auprès du public d’affiches et d’une brochure expliquant l’arthrose en termes simples autour de 5 messages clés : « l’arthrose est une véritable maladie », « ce que n’est pas l’arthrose », « l’arthrose peut être évitée », « l’arthrose se soigne », « la recherche est en marche »,

– le lancement d’une enquête d’envergure auprès des patients atteints d’arthrose pour recueillir leurs besoins et leurs attentes. Le questionnaire est à remplir en ligne sur le site www.stop-arthrose.org.

Partenaire de cette campagne, le Cespharm met à la disposition des pharmaciens la brochure « L’arthrose : luttons contre les idées reçues » et les affiches relatives à la prévention et aux traitements de l’arthrose. Par ailleurs, un envoi systématique des affiches est prévu auprès des adhérents au programme « Vitrines » les invitant à relayer la campagne pendant tout le mois de janvier.

La nouvelle campagne relayée dans le cadre du programme « Vitrines d’éducation et de prévention pour la santé » a pour thème la prévention des intoxications au monoxyde de carbone.

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz asphyxiant invisible, inodore et non irritant, issu d’une combustion incomplète des matières organiques. Il peut se dégager d’appareils à combustion – chauffage, cheminées, moteurs à combustion interne – mal entretenus ou utilisés dans de mauvaises conditions. Chaque année, plusieurs milliers de personnes sont victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone dont une centaine de cas sont mortels.

En présence d’un appareil à combustion, maux de tête, nausées, vomissements sont des symptômes qui doivent alerter. Il est alors nécessaire d’aérer, d’évacuer les lieux et d’appeler les urgences en composant le 15 ou le 112.

La baisse des températures est l’occasion de rappeler les gestes simples à adopter pour limiter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone :
– faire contrôler et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude ainsi que les conduits de fumées par un professionnel qualifié,
– aérer tous les jours pendant au moins 10 minutes et ne jamais obstruer les entrées et sorties d’air,
– respecter les consignes d’utilisation des appareils à combustion ; ne pas faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu,
– ne jamais utiliser un groupe électrogène dans un lieu fermé (maison, cave, garage …).

Les adhérents au programme Vitrines ont reçu l’affiche « Le monoxyde de carbone », éditée par l’Inpes et le ministère chargé de la santé. Une sélection de documents destinés à être remis au public est mise à la disposition des pharmaciens.

Pour rejoindre les adhérents au programme Vitrines, consultez la rubrique Agir au quotidien / Programme Vitrines.

La nouvelle campagne relayée dans le cadre du programme « Vitrines d’éducation et de prévention pour la santé » a pour thème la prévention des intoxications au monoxyde de carbone.

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz asphyxiant invisible, inodore et non irritant, issu d’une combustion incomplète des matières organiques. Il peut se dégager d’appareils à combustion – chauffage, cheminées, moteurs à combustion interne – mal entretenus ou utilisés dans de mauvaises conditions. Chaque année, plusieurs milliers de personnes sont victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone dont une centaine de cas sont mortels.

En présence d’un appareil à combustion, maux de tête, nausées, vomissements sont des symptômes qui doivent alerter. Il est alors nécessaire d’aérer, d’évacuer les lieux et d’appeler les urgences en composant le 15 ou le 112.

La baisse des températures est l’occasion de rappeler les gestes simples à adopter pour limiter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone :
– faire contrôler et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude ainsi que les conduits de fumées par un professionnel qualifié,
– aérer tous les jours pendant au moins 10 minutes et ne jamais obstruer les entrées et sorties d’air,
– respecter les consignes d’utilisation des appareils à combustion ; ne pas faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu,
– ne jamais utiliser un groupe électrogène dans un lieu fermé (maison, cave, garage …).

Les adhérents au programme Vitrines ont reçu l’affiche « Le monoxyde de carbone », éditée par l’Inpes et le ministère chargé de la santé. Une sélection de documents destinés à être remis au public est mise à la disposition des pharmaciens.

Pour rejoindre les adhérents au programme Vitrines, consultez la rubrique Agir au quotidien / Programme Vitrines.

L’hiver est une période propice à la propagation de certains virus saisonniers. Pour limiter les risques de transmission, la promotion de mesures simples de prévention, notamment le lavage des mains, est essentielle.

Rhume, rhinopharyngite, grippe, bronchiolite, gastroentérite… Les virus responsables de ces infections se transmettent principalement par les gouttelettes émises lors de la toux ou d’éternuements, les postillons, la salive et le contact avec des mains ou des objets contaminés.

Pour limiter les risques de transmission, des gestes simples ont démontré leur efficacité :
– se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou utiliser une solution hydroalcoolique, notamment après s’être mouché, avoir toussé ou éternué et avant chaque repas,
– se couvrir la bouche avec sa manche ou un mouchoir à usage unique pour tousser ou éternuer,
– jeter son mouchoir en papier dans une poubelle immédiatement après usage,
– porter un masque chirurgical lorsqu’on est malade,
– aérer régulièrement le logement.

L’Inpes et le ministère chargé de la santé, par le biais de campagnes d’information, rappellent chaque année au public ces messages de prévention en mettant l’accent sur le lavage des mains, geste essentiel pour limiter la propagation des infections.

Le Cespharm met à la disposition des pharmaciens les brochures d’information éditées par l’Inpes rappelant les mesures simples d’hygiène à adopter et les conseils spécifiques à la bronchiolite et à la diarrhée du jeune enfant.

L’hiver est une période propice à la propagation de certains virus saisonniers. Pour limiter les risques de transmission, la promotion de mesures simples de prévention, notamment le lavage des mains, est essentielle.

Rhume, rhinopharyngite, grippe, bronchiolite, gastroentérite… Les virus responsables de ces infections se transmettent principalement par les gouttelettes émises lors de la toux ou d’éternuements, les postillons, la salive et le contact avec des mains ou des objets contaminés.

Pour limiter les risques de transmission, des gestes simples ont démontré leur efficacité :
– se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou utiliser une solution hydroalcoolique, notamment après s’être mouché, avoir toussé ou éternué et avant chaque repas,
– se couvrir la bouche avec sa manche ou un mouchoir à usage unique pour tousser ou éternuer,
– jeter son mouchoir en papier dans une poubelle immédiatement après usage,
– porter un masque chirurgical lorsqu’on est malade,
– aérer régulièrement le logement.

L’Inpes et le ministère chargé de la santé, par le biais de campagnes d’information, rappellent chaque année au public ces messages de prévention en mettant l’accent sur le lavage des mains, geste essentiel pour limiter la propagation des infections.

Le Cespharm met à la disposition des pharmaciens les brochures d’information éditées par l’Inpes rappelant les mesures simples d’hygiène à adopter et les conseils spécifiques à la bronchiolite et à la diarrhée du jeune enfant.

Le prix du Cespharm a été remis à David Feldman lors de la Journée de l’Ordre le 26 novembre 2012.

Pharmacien des hôpitaux au centre Hospitalier Universitaire de Nantes (Loire Atlantique), David Feldman est impliqué depuis de nombreuses années dans des actions d’éducation thérapeutique des patients (ETP).

Il a notamment développé une activité d’éducation thérapeutique pour les patients transplantés thoraciques au sein du CHU de Nantes et assure la coordination du programme « Gérer son traitement : patients transplantés thoraciques » autorisé par l’ARS Pays de la Loire. Il participe également à des projets multicentriques de recherche en ETP dans la mucoviscidose et l’hypertension artérielle pulmonaire.

Au niveau institutionnel, il est impliqué dans le Comité Technique de l’ETP de l’ARS Pays de la Loire et dans le groupe ETP de la Société Française de Pharmacie Clinique (SFPC).

Par ailleurs, il contribue à la formation des pharmaciens en ETP en formation initiale, au sein de l’UFR des Sciences Pharmaceutiques de Nantes et en formation continue, dans le cadre de différents programmes.

Le Cespharm adresse ses plus vives félicitations au lauréat.

Le prix du Cespharm a été remis à David Feldman lors de la Journée de l’Ordre le 26 novembre 2012.

Pharmacien des hôpitaux au centre Hospitalier Universitaire de Nantes (Loire Atlantique), David Feldman est impliqué depuis de nombreuses années dans des actions d’éducation thérapeutique des patients (ETP).

Il a notamment développé une activité d’éducation thérapeutique pour les patients transplantés thoraciques au sein du CHU de Nantes et assure la coordination du programme « Gérer son traitement : patients transplantés thoraciques » autorisé par l’ARS Pays de la Loire. Il participe également à des projets multicentriques de recherche en ETP dans la mucoviscidose et l’hypertension artérielle pulmonaire.

Au niveau institutionnel, il est impliqué dans le Comité Technique de l’ETP de l’ARS Pays de la Loire et dans le groupe ETP de la Société Française de Pharmacie Clinique (SFPC).

Par ailleurs, il contribue à la formation des pharmaciens en ETP en formation initiale, au sein de l’UFR des Sciences Pharmaceutiques de Nantes et en formation continue, dans le cadre de différents programmes.

Le Cespharm adresse ses plus vives félicitations au lauréat.

Cette année encore, la Journée mondiale de lutte contre le Sida sera l’occasion de promouvoir le dépistage du VIH et des autres infections sexuellement transmissibles auprès de l’ensemble de la population.

En France, sur les 150 000 personnes contaminées par le VIH, 50 000 ignorent leur séropositivité. Or, le dépistage permet de diminuer le délai de prise en charge et de réduire le risque de transmission du virus grâce à la mise sous traitement et l’adoption de comportements de prévention.

Actuellement, il est recommandé de proposer un test de dépistage du VIH à toutes les personnes de 15 à 70 ans, hors notion d’exposition à un risque particulier. L’objectif de la campagne de sensibilisation est de banaliser le dépistage notamment auprès des personnes qui ne sentent pas concernées par le VIH (plus de 40 ans, hétérosexuels, en couple, ayant des enfants, etc.) ou qui n’ont pas l’impression d’avoir pris de risque.

Le dépistage reste par ailleurs recommandé tous les ans pour les personnes présentant des facteurs de risques connus. Il doit s’accompagner d’une proposition personnalisée de dépistage des autres infections sexuellement transmissibles (chlamydiose, hépatite B, syphilis, blennorragie gonococcique, papillomavirus…).

Pour aider les pharmaciens à relayer la Journée mondiale de lutte contre le Sida, le Cespharm propose l’affiche éditée par l’Inpes et le ministère chargé de la santé, ainsi qu’une sélection de brochures à remettre au public et de documents d’information professionnelle.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

Cette année encore, la Journée mondiale de lutte contre le Sida sera l’occasion de promouvoir le dépistage du VIH et des autres infections sexuellement transmissibles auprès de l’ensemble de la population.

En France, sur les 150 000 personnes contaminées par le VIH, 50 000 ignorent leur séropositivité. Or, le dépistage permet de diminuer le délai de prise en charge et de réduire le risque de transmission du virus grâce à la mise sous traitement et l’adoption de comportements de prévention.

Actuellement, il est recommandé de proposer un test de dépistage du VIH à toutes les personnes de 15 à 70 ans, hors notion d’exposition à un risque particulier. L’objectif de la campagne de sensibilisation est de banaliser le dépistage notamment auprès des personnes qui ne sentent pas concernées par le VIH (plus de 40 ans, hétérosexuels, en couple, ayant des enfants, etc.) ou qui n’ont pas l’impression d’avoir pris de risque.

Le dépistage reste par ailleurs recommandé tous les ans pour les personnes présentant des facteurs de risques connus. Il doit s’accompagner d’une proposition personnalisée de dépistage des autres infections sexuellement transmissibles (chlamydiose, hépatite B, syphilis, blennorragie gonococcique, papillomavirus…).

Pour aider les pharmaciens à relayer la Journée mondiale de lutte contre le Sida, le Cespharm propose l’affiche éditée par l’Inpes et le ministère chargé de la santé, ainsi qu’une sélection de brochures à remettre au public et de documents d’information professionnelle.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !