En France métropolitaine, la semaine dernière (2017s18), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 2 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [0 ; 5]), en dessous du seuil épidémique (73 cas pour 100 000 habitants) [1].
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Bourgogne-Franche-Comté (8 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [0 ; 23]), Bretagne (6, IC 95% [0 ; 19]), Ile-de-France (6, IC 95% [0 ; 23]) et Centre-Val de Loire (5, IC 95% [0 ; 18]).
Plus d’information sur les méthodes statistiques utilisées

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.

L’Institut national du cancer (INCa) propose sur son site internet des fiches pratiques destinées aux professionnels de santé de ville sur la prévention et la gestion des effets indésirables de certains anticancéreux per os.

 Ces fiches médicaments concernent seize molécules indiquées dans le traitement des  :

Cancers hématologiques : bosutinib-Bosulif®, dasatinib-Sprycel®, imatinib-Glivec®, lénalidomide-Revlimid®, nilotinib-Tasigna®, pomalidomide-Imnovid®, ponatinib-Iclusig®, ruxolitinib-Jakavi® et thalidomide ;

Cancers de la peau : dabrafénib-Tafinlar® (associé éventuellement au tramétinib-Mekinist®), vémurafénib-Zelboraf® (associé éventuellement au cobimétinib-Cotellic®) et vismodégib-Erivedge® ;

Cancers bronchopulmonaires : céritinib-Zykadia®, crizotinib-Xalkori®, erlotinib-Tarceva® et géfitinib-Iressa®.

Elles détaillent, pour chaque molécule, les informations essentielles à transmettre au patient, les principales interactions médicamenteuses ainsi que les modalités de suivi et de gestion des effets indésirables.

Ces fiches viennent compléter les recommandations de l’INCa sur la prévention et la gestion des effets indésirables des chimiothérapies orales (mises en ligne en juillet 2015 et avril 2016). Elles sont consultables sur son site Internet.

En France métropolitaine, la semaine dernière (2017s17), le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 27 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [17 ; 37]).
Six foyers régionaux ont été observés, d’activité forte en Nouvelle-Aquitaine (52 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [0 ; 139]), Grand Est (51, IC 95% [2 ; 100]) et Hauts-de-France (47, IC 95% [13 ; 81]) et modérée en Corse (31, IC 95% [0 ; 72]), Provence-Alpes-Côte d’Azur (27, IC 95% [0 ; 76]) et Auvergne-Rhône-Alpes (23, IC 95% [0 ; 49]).

En France métropolitaine, la semaine dernière (2017s17), le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 103 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [83 ; 123]), en dessous du seuil épidémique (132 cas pour 100 000 habitants) [1].
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (290 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [150 ; 430]), Pays de la Loire (147, IC 95% [0 ; 304]) et Auvergne-Rhône-Alpes (135, IC 95% [57 ; 213]).
Plus d’information sur les méthodes statistiques utilisées

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.

En France métropolitaine, la semaine dernière (2017s17), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 4 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [0 ; 8]), en dessous du seuil épidémique (77 cas pour 100 000 habitants) [1].
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Pays de la Loire (11 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [0 ; 32]), Auvergne-Rhône-Alpes (7, IC 95% [0 ; 16]), Normandie (7, IC 95% [0 ; 21]) et Occitanie (5, IC 95% [0 ; 16]).
Plus d’information sur les méthodes statistiques utilisées

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.