Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. A cette occasion, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information sur cette thématique, édités par l’Institut national du cancer (INCa).

Cette manifestation a notamment pour objectifs :
– d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque ;
– d’apporter aux femmes ciblées par le dépistage organisé tous les éléments leur permettant de faire le choix éclairé d’y participer ou non.

Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues de ces outils peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

 

Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé, les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

 

Par ailleurs, à l’occasion d’Octobre rose 2016, Marisol Touraine a annoncé une rénovation profonde du programme de dépistage organisé, confiée à l’INCa et à la Direction générale de la santé. Les modalités de cette refonte seront précisées à la fin de l’année. Cette annonce fait suite aux recommandations de l’INCa remises à la ministre, sur la base du rapport final de la concertation citoyenne et scientifique sur l’évolution de ce dépistage (consultable sur www.concertation-depistage.fr).

 

Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. A cette occasion, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information sur cette thématique, édités par l’Institut national du cancer (INCa).

Cette manifestation a notamment pour objectifs :
– d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque ;
– d’apporter aux femmes ciblées par le dépistage organisé tous les éléments leur permettant de faire le choix éclairé d’y participer ou non.

Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues de ces outils peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

 

Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé, les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

 

Par ailleurs, à l’occasion d’Octobre rose 2016, Marisol Touraine a annoncé une rénovation profonde du programme de dépistage organisé, confiée à l’INCa et à la Direction générale de la santé. Les modalités de cette refonte seront précisées à la fin de l’année. Cette annonce fait suite aux recommandations de l’INCa remises à la ministre, sur la base du rapport final de la concertation citoyenne et scientifique sur l’évolution de ce dépistage (consultable sur www.concertation-depistage.fr).

 

La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et prendra fin le 31 janvier 2017. « Pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination », tel est le message-clé à relayer à nouveau cette saison.

Le taux de couverture vaccinale des populations à risque reste insuffisant malgré une légère remontée observée en 2015 (48,3% versus 46,1% en 2014). L’an dernier, 77% des cas de grippe admis en réanimation ont concerné des personnes présentant des facteurs de risque. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle aux personnes à risque que le vaccin est le moyen le plus efficace pour réduire les complications graves et les hospitalisations liées à la grippe.

Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée : les souches A (H3N2) et B sont actualisées tandis que la souche A (H1N1), responsable de la pandémie grippale de 2009, reste inchangée.

Rappelons que le vaccin antigrippal trivalent est pris en charge à 100% notamment pour :
– les sujets âgés de 65 ans et plus,
– les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
– les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
– les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.

Comme lors des campagnes précédentes, les personnes « non primo-vaccinantes » invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les « primo-vaccinants », pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.

Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie. Par ailleurs, le Cespharm met à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière.

 

La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et prendra fin le 31 janvier 2017. « Pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination », tel est le message-clé à relayer à nouveau cette saison.

Le taux de couverture vaccinale des populations à risque reste insuffisant malgré une légère remontée observée en 2015 (48,3% versus 46,1% en 2014). L’an dernier, 77% des cas de grippe admis en réanimation ont concerné des personnes présentant des facteurs de risque. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle aux personnes à risque que le vaccin est le moyen le plus efficace pour réduire les complications graves et les hospitalisations liées à la grippe.

Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée : les souches A (H3N2) et B sont actualisées tandis que la souche A (H1N1), responsable de la pandémie grippale de 2009, reste inchangée.

Rappelons que le vaccin antigrippal trivalent est pris en charge à 100% notamment pour :
– les sujets âgés de 65 ans et plus,
– les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
– les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
– les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.

Comme lors des campagnes précédentes, les personnes « non primo-vaccinantes » invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les « primo-vaccinants », pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.

Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie. Par ailleurs, le Cespharm met à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière.

Inviter les français à arrêter de fumer, ensemble, pendant tout le mois de novembre. Telle est l’ambition de la campagne « Moi(s) sans tabac », lancée par Santé publique France. Professionnels de proximité, les pharmaciens ont un grand rôle à jouer dans la promotion de l’opération et l’accompagnement du sevrage.

« Ici, on soutient tous ceux qui ont décidé d’arrêter de fumer ». Certaines vitrines d’officines affichent dores et déjà ce slogan en relais de la campagne « Moi(s) sans tabac ». Inspirée d’un concept déjà en place Outre-Manche depuis plusieurs années, cette opération de soutien à l’arrêt du tabac est lancée en France par l’Agence nationale de Santé publique.

 

Son objectif ? Inviter un maximum de fumeurs à arrêter « ensemble » durant tout le mois de novembre, parce que, selon les études, un mois sans fumer multiplie par 5 les chances d’arrêter définitivement. L’idée est d’inviter les fumeurs à participer à l’événement en s’inscrivant sur le site tabac-info-service.fr ou en contactant la structure par téléphone au 39 89.

 

Son dispositif ? Dès le mois d’octobre, afin de mobiliser un maximum de participants pour le « défi » de novembre, des actions de communication de grande ampleur sont mises en place : spots télé, radio, affiches, bannières Internet.

 

Et vous, en tant que pharmacien ? Acteur de santé de proximité, vous avez un rôle majeur à jouer dans cette campagne. Tous les pharmaciens, quels que soient leurs lieux d’exercice, peuvent commander flyers, brochures et affiches via le Cespharm. Des outils professionnels d’information et d’accompagnement du sevrage tabagique vous sont également proposés.
Par ailleurs, si 20 000 officines de métropole et d’Outre-mer se sont vues proposer des vitrophanies aux couleurs de l’opération, les officines non visitées recevront une affiche de la campagne afin de l’apposer dans leur vitrine. Chaque officine recevra automatiquement, courant octobre, 5 kits d’aide à l’arrêt du tabac par l’intermédiaire de son grossiste répartiteur et pourra ensuite se réapprovisionner par le même canal (code ACL : 340 154 250 033 6).

Inviter les français à arrêter de fumer, ensemble, pendant tout le mois de novembre. Telle est l’ambition de la campagne « Moi(s) sans tabac », lancée par Santé publique France. Professionnels de proximité, les pharmaciens ont un grand rôle à jouer dans la promotion de l’opération et l’accompagnement du sevrage.

« Ici, on soutient tous ceux qui ont décidé d’arrêter de fumer ». Certaines vitrines d’officines affichent dores et déjà ce slogan en relais de la campagne « Moi(s) sans tabac ». Inspirée d’un concept déjà en place Outre-Manche depuis plusieurs années, cette opération de soutien à l’arrêt du tabac est lancée en France par l’Agence nationale de Santé publique.

 

Son objectif ? Inviter un maximum de fumeurs à arrêter « ensemble » durant tout le mois de novembre, parce que, selon les études, un mois sans fumer multiplie par 5 les chances d’arrêter définitivement. L’idée est d’inviter les fumeurs à participer à l’événement en s’inscrivant sur le site tabac-info-service.fr ou en contactant la structure par téléphone au 39 89.

 

Son dispositif ? Dès le mois d’octobre, afin de mobiliser un maximum de participants pour le « défi » de novembre, des actions de communication de grande ampleur sont mises en place : spots télé, radio, affiches, bannières Internet.

 

Et vous, en tant que pharmacien ? Acteur de santé de proximité, vous avez un rôle majeur à jouer dans cette campagne. Tous les pharmaciens, quels que soient leurs lieux d’exercice, peuvent commander flyers, brochures et affiches via le Cespharm. Des outils professionnels d’information et d’accompagnement du sevrage tabagique vous sont également proposés.
Par ailleurs, si 20 000 officines de métropole et d’Outre-mer se sont vues proposer des vitrophanies aux couleurs de l’opération, les officines non visitées recevront une affiche de la campagne afin de l’apposer dans leur vitrine. Chaque officine recevra automatiquement, courant octobre, 5 kits d’aide à l’arrêt du tabac par l’intermédiaire de son grossiste répartiteur et pourra ensuite se réapprovisionner par le même canal (code ACL : 340 154 250 033 6).

Prévenir le risque de confusions et d’erreurs. Tel est le but du projet de recommandations de l’ANSM sur les noms des médicaments. En tant que professionnels, vous êtes invités à commenter et proposer d’éventuelles modifications à ce projet de texte.

Vous avez jusqu’au 30 novembre 2016 pour participer à la consultation publique lancée par l’ANSM dans le cadre de son projet de recommandations sur les noms des médicaments. Jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de commenter et de proposer d’éventuelles modifications au projet de texte en ligne.

Ces recommandations « à l’usage des demandeurs et titulaires d’autorisations de mise sur le marché ou d’enregistrements », ont pour objectif de prévenir les risques pour la santé publique liés aux choix des noms des médicaments : confusions entre deux produits, erreur sur la population cible, les indications, la composition, les modalités d’utilisation… Des problématiques qui sont susceptibles de survenir à la fois lors de la prescription, de la dispensation ou de l’administration du médicament.

Via ce texte, l’ANSM – en charge de l’examen de ces noms – rappelle aux industriels les critères retenus lors de cet examen et propose des orientations nouvelles. Elle préconise notamment :

  • un encadrement plus strict des « marques ombrelles » ;
  • davantage de rigueur également vis-à-vis de la mention de l’arôme sur le conditionnement des médicaments ;
  • une expression en DCI du nom des génériques.

Prévenir le risque de confusions et d’erreurs. Tel est le but du projet de recommandations de l’ANSM sur les noms des médicaments. En tant que professionnels, vous êtes invités à commenter et proposer d’éventuelles modifications à ce projet de texte.

Vous avez jusqu’au 30 novembre 2016 pour participer à la consultation publique lancée par l’ANSM dans le cadre de son projet de recommandations sur les noms des médicaments. Jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de commenter et de proposer d’éventuelles modifications au projet de texte en ligne.

Ces recommandations « à l’usage des demandeurs et titulaires d’autorisations de mise sur le marché ou d’enregistrements », ont pour objectif de prévenir les risques pour la santé publique liés aux choix des noms des médicaments : confusions entre deux produits, erreur sur la population cible, les indications, la composition, les modalités d’utilisation… Des problématiques qui sont susceptibles de survenir à la fois lors de la prescription, de la dispensation ou de l’administration du médicament.

Via ce texte, l’ANSM – en charge de l’examen de ces noms – rappelle aux industriels les critères retenus lors de cet examen et propose des orientations nouvelles. Elle préconise notamment :

  • un encadrement plus strict des « marques ombrelles » ;
  • davantage de rigueur également vis-à-vis de la mention de l’arôme sur le conditionnement des médicaments ;
  • une expression en DCI du nom des génériques.

La parole est à vous. Ouvert pour quelques semaines, l’espace participatif de la concertation citoyenne sur la vaccination vise à recueillir un maximum d’avis sur le sujet. Le but ? Comprendre les inquiétudes et trouver des solutions pour améliorer la confiance et la couverture vaccinale. Contribuez-y !

« Exprimez votre ressenti sur la vaccination. Quelles recommandations feriez-vous pour améliorer la confiance dans la vaccination ? Et pour améliorer la couverture vaccinale ? » Le ministère chargé de la Santé et Santé publique France ouvrent un espace d’expression sur la vaccination afin de mieux comprendre les inquiétudes et critiques dont la vaccination fait l’objet et de rétablir la confiance des Français dans la politique vaccinale.

La mise à disposition de cette plateforme jusqu’au 13 octobre est la troisième étape de la vaste concertation citoyenne qui a démarré en mai 2016 (enquêtes d’opinion suivies de la réunion de jurys de citoyens et de professionnels de santé). Après la restitution publique, en novembre prochain, de l’ensemble des avis des jurys, des contributions citoyennes et des pistes de réflexion du comité d’orientation, un rapport final sera remis à la ministre en décembre afin d’inspirer la rénovation de la politique vaccinale.

Tous les Français qui le souhaitent sont appelés à participer à cette consultation en ligne. Contribuez-y et faites-la connaître !

Le samedi 17 septembre aura lieu la Journée mondiale du don de moelle osseuse. Pour la deuxième année, cet événement sera relayé en France par l’Agence de la biomédecine. Une opportunité supplémentaire pour communiquer largement sur ce don grâce à l’affiche et à la brochure disponibles via le Cespharm.

 

« Joyeux nouvel anniv’ « , tel est le slogan autour duquel s’articulera la campagne nationale de l’Agence de la biomédecine, à partir du 17 septembre, dans le cadre de la Journée mondiale pour le don de moelle osseuse. L’idée est de mettre à l’honneur les personnes ayant bénéficié d’une telle greffe et la nouvelle vie qui s’ensuit pour eux, telle une « re-naissance ». Cette nouvelle campagne rend aussi indirectement hommage à tous les donneurs anonymes de moelle osseuse.

 

A cette occasion, 24 gares de l’Hexagone relaieront la campagne, permettant de faire découvrir aux voyageurs le don de moelle osseuse et la possibilité de s’inscrire sur le registre de donneurs.

 

L’Agence de la biomédecine souhaite atteindre (ou dépasser) le chiffre de 18 000 nouveaux inscrits sur le registre en 2016, afin d’accroître les chances pour tout malade de trouver un donneur compatible. Si vous souhaitez les y aider en participant à l’information sur ce don encore trop peu connu, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure. Des messages à diffuser largement !