Pour promouvoir la brochure intitulée « Vieillir… et alors ? » et inciter au dialogue avec le pharmacien, l’Inpes et les régimes de retraite proposent l’affiche « Bien vivre son âge ? Avec plaisir ! ». Le but de cette communication ? Accompagner les jeunes seniors à l’approche de la retraite et au cours de ses premières années.

« Etre bien dans son corps, se nourrir l’esprit, rester en contact, veiller à sa santé »… Voici ce à quoi l’Inpes, en partenariat avec les régimes de retraite, souhaite aider les personnes âgées de 58 à 68 ans. Cette affiche, ainsi que la récente brochure « Vieillir… et alors ? » qu’elle promeut, ont été élaborées pour accompagner les futurs et jeunes retraités, autonomes et en bonne santé, dans une approche positive et globale du vieillissement. Au travers de conseils pratiques, paroles de professionnels et témoignages de jeunes seniors, la brochure prend en compte les dimensions physiologiques, psychologiques et sociales de cette période de la vie.

Pour vous aider à communiquer autour du jeune senior et de l’avancement en âge, le Cespharm propose une sélection d’affiches, de brochures à remettre au public et de documents d’information professionnelle.

Un deuxième volet de la communication sur le thème « Vieillir en bonne santé » est prévu par l’Inpes en juin 2014, notamment à travers une brochure intitulée « Bien vivre son âge ». Celle-ci s’adressera aux sujets âgés plus fragilisés au-delà de 75 ans, à qui elle livrera des pistes pour continuer à prendre soin d’eux et rester actif physiquement et mentalement. Elle abordera plus particulièrement des problématiques telles que de l’aménagement du logement, le retour à domicile après une hospitalisation et la dimension psychologique liée aux décès.

Pour la huitième édition de la Journée française de l’allergie, le 18 mars prochain, l’Association Asthme et Allergies met l’accent sur l’importance d’une prise en charge précoce de la pathologie afin d’en limiter les complications. Le Cespharm vous propose des outils pour communiquer auprès de vos patients.

Sept ans. C’est le délai moyen qui s’écoule entre l’apparition des symptômes d’allergie et la première consultation médicale. Ainsi, près d’une allergie respiratoire sur deux reste non diagnostiquée en dépit d’une possible aggravation en l’absence de prise en charge. A ce jour, on compte en effet 15 à 20 % de formes sévères d’allergies respiratoires.

Face à ces constats, l’Association Asthme et Allergies focalise la huitième Journée française de l’allergie sur le thème de l’aggravation de la pathologie avec le slogan « Allergie, j’agis ! Pour éviter les complications ». C’est au travers de rencontres interactives que l’association souhaite, cette année, sensibiliser les patients à cette problématique. Ces « tchats » mettront en relation les internautes avec des allergologues, une psychologue et une conseillère médicale en environnement intérieur. Pour cela, rendez-vous le 18 mars entre 12 h à 19 h sur le site Internet de l’Association Asthme et Allergies. Des témoignages de patients et de professionnels de santé ainsi que des informations notamment relatives au diagnostic, aux traitements et aux mesures d’éviction des allergènes seront disponibles, à partir du 18 mars, sur une plateforme web dédiée.

Pour accompagner cette Journée, le Cespharm met à votre disposition des affiches et des brochures pour informer vos patients et les inviter à ouvrir le dialogue notamment sur la pathologie et la pollution de l’air, extérieur comme intérieur.

Surveillance des syndromes grippaux
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 174 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [142 ; 206],  (soit 112 000 nouveaux cas), au-dessus du seuil épidémique (139 cas pour 100 000 habitants) [1]. Il s’agit de la sixième semaine de l’épidémie de grippe. L’activité épidémique a commencé son déclin il y a 3 semaines.
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Champagne-Ardenne (419 cas pour 100 000 habitants), Corse (390) et Rhône-Alpes (274).
Concernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 37 ans (1 à 85 ans); les hommes représentaient 50% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité :  aucune hospitalisation pour syndrome grippal n’a été rapportée.
Selon les modèles de prévisions basés sur les données historiques [2] et sur les données de  ventes de médicaments (partenariat IMS-Health) [3], l’intensité de l’épidémie de grippe devrait continuer à diminuer cette semaine.
Estimation de la part attribuable à la Grippe
Parmi les consultations pour syndromes grippaux décrites ci-dessus, le nombre de consultations attribuables à la grippe est estimé à 69 000 (intervalle de prédiction à 90% [22 000 ; 112 000]). En six semaines d’épidémie, le nombre de consultations pour grippe a été estimé à 607 000 (IP 90% : [328 000 ; 882 000]).
[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.
[2] Viboud C, et al. Prediction of the spread of influenza epidemics by the method of analogues. Am J Epidemiol. 2003 Nov 15;158(10):996-1006.
[3] Vergu E, et al. Medication sales and syndromic surveillance, France. Emerg Infect Dis. 2006. 12(3):416-21.

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 26 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [11 ; 41]). 
Sept foyers régionaux ont été observés, d’activité forte en Limousin (62 cas pour 100 000 habitants), Picardie (45) et Nord-Pas-de-Calais (45), et modérée en Pays-de-la-Loire (26), Basse-Normandie (25), Auvergne (23) et Languedoc-Roussillon (20).

Surveillance des syndromes grippaux
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 264 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [230 ; 298],  (soit 170 000 nouveaux cas), au-dessus du seuil épidémique (148 cas pour 100 000 habitants) [1]. L’activité épidémique semble avoir commencé sa décroissance après cinq semaines d’épidémie.
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Languedoc-Roussillon (540 cas pour 100 000 habitants), Corse (501) et Alsace (330).
Concernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 31 ans (6 mois à 89 ans); les hommes représentaient 45% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : le pourcentage d’hospitalisation a été estimé à 0,7% (IC 95% : [0% ; 1,7%]).
Le modèle de prévision basé sur les données historiques [2] est moins interprétable à cette période de l’année. Selon le modèle de prévision basé sur les données de ventes de médicaments (partenariat IMS-Health) [3], l’épidémie est en phase de ralentissement voire de décroissance.
Estimation de la part attribuable à la Grippe
Parmi les consultations pour syndromes grippaux décrites ci-dessus, le nombre de consultations attribuables à la grippe est estimé à 122 000 (intervalle de prédiction à 90% [75 000 ; 168 000]). En 5 semaines d’épidémie, le nombre de consultations pour grippe a été estimé à 565 000 (IP 90% : [333 000 ; 797 000]).
[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.
[2] Viboud C, et al. Prediction of the spread of influenza epidemics by the method of analogues. Am J Epidemiol. 2003 Nov 15;158(10):996-1006.
[3] Vergu E, et al. Medication sales and syndromic surveillance, France. Emerg Infect Dis. 2006. 12(3):416-21.